Le gouvernement s’apprête à présenter un plan d’économies d’une ampleur inédite. Si certaines pistes évoquées se confirment, elles pourraient impacter de plein fouet le pouvoir d’achat des Français.
François Bayrou, Premier ministre, a annoncé fin mai l’arrivée imminente d’un plan pluriannuel de redressement des finances publiques. Objectif affiché : économiser 40 milliards d’euros dès 2026.
Une équation impossible : 40 milliards à économiser
Les chiffres sont brutaux : l’État dépense 10 % de plus que ce qu’il encaisse chaque mois. Face à cette dérive, le gouvernement vise 40 milliards d’euros d’économies dès 2026. Un plan d’envergure, porté par François Bayrou, censé redresser des finances que l’on dit à bout de souffle.
Mais derrière les discours officiels, les scénarios de coupes se précisent. Aucun domaine n’échappera à la réflexion, y compris ceux jusque-là jugés intouchables.
Pouvoir d’achat : un gel silencieux qui inquiète
L’une des pistes envisagées est redoutable : une “année blanche” sur les revalorisations. En clair, pas d’augmentation des retraites, des aides sociales ni de certaines subventions locales, malgré l’inflation.
Cela revient à figer les revenus, alors même que les prix continuent de grimper. Un coup dur pour les foyers modestes, qui verront leur pouvoir d’achat reculer sans même que leur bulletin de versement change.
Un impôt qui grimpe… sans changer de taux
Autre mécanisme plus discret mais tout aussi redoutable : le gel du barème de l’impôt sur le revenu. Résultat ? Si votre salaire suit l’inflation, vous pourriez basculer dans une tranche supérieure, sans réel gain de pouvoir d’achat… mais avec plus d’impôts à payer.
C’est une hausse qui ne dit pas son nom, et qui pourrait concerner des millions de foyers dès l’an prochain.
Retraités dans le viseur : vers une CSG alourdie ?
Un alignement des cotisations sociales entre actifs et retraités est aussi sur la table. Aujourd’hui, les retraités bénéficient de taux de CSG plus légers. Mais l’exécutif pourrait revoir cette exception. Conséquence directe : des pensions nettes amputées, et une grogne qui risque de monter en flèche chez les seniors.
Nouvelles taxes à l’étude : le quotidien visé
Dans les cartons du gouvernement, de nouvelles taxes ciblées émergent. Parmi elles, une idée fait parler : instaurer une taxe sur les petits colis importés de moins de 150 euros, jusque-là exonérés. Une manière de taxer davantage le commerce en ligne… sans le dire frontalement.
Et ce n’est pas tout. Une hausse d’un point de TVA sur les produits non essentiels circule également, portée par certains sénateurs. Objectif : rapporter 7 milliards d’euros sans toucher aux biens de première nécessité. Mais pour les consommateurs, cela se traduira par une hausse des prix immédiate sur une large partie des achats du quotidien.
Rien d’acté… mais tout s’accélère
Pour l’heure, aucune annonce officielle n’a été faite. Mais les arbitrages approchent, et la présentation du plan est attendue d’ici la mi-juillet. Le gouvernement marche sur une ligne de crête entre rigueur budgétaire et acceptabilité sociale.
Une chose est sûre : le portefeuille des Français est en première ligne, et les prochains mois s’annoncent décisifs.
Les sénateurs devraient d’abord demander à leur président de montrer l’exemple : en remboursant ses deux fauteuils à 40 000€ (de sa propre poche bien entendu) !!!
en plus des fauteuils du Sénat ! il devrait restreindre la rémunération de tous ces ” intermittents ” et l’argent donné pour les avantages de tous les “élus ” versée à vie et non pas à nous les ” travailleurs ” patron de ces gens – là ! et oui c’est nous qui les payons et les avantages à vie sont inadmissibles jamais travaillé et enrichi grâce à nous ! pas donné une retraite après six mois au Sénat et les voir continuer à travailler et ne plus nommer ces ” grands fonctionnaires ” après 70 ans les vieux il y en a marre !
Vous avez entièrement raison, il va falloir nous les retraitées aller chercher toutes ces têtes afin de leur couper. Nous n’avons pas besoin d’autant de personnes pour gouverner notre pays, si nous avions des personnes raisonnables, qui seraient capables de réfléchir, dépenser et gouverner la moitié serait suffisant (même peut-être encore de trop) que d’économies réalisées. Mais voilà, tout ce petit monde a besoin de donner des emplois aux copains et aux copains des copains et surtout vivre sur le dos des CITOYENS FRANCAIS. C’est une HONTE. Il va falloir vraiment descendre dans la rue et leur faire voir que nous ne sont pas encore prêt à se laisser mourir à petit feu par toute cette bande qui ne rêve que d’une chose enterrer les français vivant jusqu’à ce qu’ils rendent leur dernier souffle. Nous en avons ras le bol de tous ces hommes et femmes qui veulent nous dicter leurs lois et s’enrichir sur notre dos. Car ce que nous avons c’est grasse à notre travail, et dieux c’est que du travail nous en avons abattu des semaines à 40 h, ce que nous possédons nous l’avons obtenu par la sueur de notre front et nous ne sommes pas résignés à nous laisser dépouiller par des bandes de charognards
pourquoi faire payer les retraités, on ne peut pas faire de grève alors c’est facile pour eux, on a déjà cotisé pendant des années, alors ça suffit, on devrait plutôt faire payer tous ces donneurs de leçons qui touchent plusieurs milliers d’euros par mois
l’Etat, nos gouvernants devraient montrer l’exemple : “salaires” et autres primes, véhicules avec chauffeurs, repas, voyages du Président ainsi que les “diners d’Etat” où nous pouvons voir des personnes invitées qui n’apportent rien à notre pays, etc… là il y aurait une grosse, très grosse économie.