Si les conditions d’octroi de cette aide varient régulièrement, une grosse évolution est prévue dans plus d’un an. Voici ce qui vous attend en 2026.
La récente réforme des retraites d’Elisabeth Borne a mis de côté un volet important : les pensions de réversion. Elles concernent pourtant près de 4,4 millions de personnes.
Il est bon de rappeler que la pension de réversion concerne la part de retraite reversée d’un conjoint décédé. Le Conseil d’orientation des retraites (COR) veut mettre en place des changements pour 2026.
Vers de nouvelles conditions ?
Le COR a mandaté le gouvernement pour réformer les pensions de réversions : il a été envisagé de l’étendre aux couples pacsés ainsi qu’aux concubins.
On se dirige vers plus d’équité et de simplification : “Il y a presque autant de pensions de réversion que de régime de retraite : le seul critère commun à la quarantaine de régimes étant d’avoir été marié. “L’harmonisation (…) pourrait être obtenue en ajustant notamment le taux de réversion (50%, 55%, 60%), en supprimant ou généralisant les conditions de ressources et de non-remariage, et en alignant l’âge minimal (55 ans) ou en le supprimant”.
Débat politique ?
Ces mesures pourraient entrer en vigueur dès 2026. Mais cela aura un coup et les débats politiques ne pourront pas être évités.
Aujourd’hui, la pension de base pour les employés du privé est de 54 %, ce taux passe à 60% pour la retraite complémentaire et 50 % pour les fonctionnaires.
Les conditions d’attribution dépendent des régimes de retraite, par exemple l’Agirc-Arrco autorise le concubinage, mais un remariage entraîne une perte définitive des droits.
Pourquoi une discrimination entre le privé et les fonctionnaires .
Il faut savoir de quels fonctionnaires vous parlez ?
Sachant qu’il existe plusieurs fonction publique .
Vous introduisez des différences volontairement pour créer la( zizanie ).
Il y a des fonctionnaires qui touchent moins que dans le privé.
Renseignez-vous avant de faire paraitre des soit disant nouvelles .
je me suis arrêtée de travailler en mars 2005 pour m’occuper à plein temps de mon mari JE SUIS SOIGNANTE INFIRMIERE en 2017 on m’a mis d’office à la retraite j’ai une retraite personnelle de 460,€/mois j’ai travaillé toute ma vie et je continue je n’ai aucune aide supplémentaire mon mari à une retraite correcte ce sont les revenus du ménage qui comptent j’ai l’impression de mendier à titre perso je n’ai droit à rien qu’en sera-t-il si mon mari décède avant moi je deviens SDF ? j’en honte de nos dirigants quand un réfugier arrive à 60 ans il à le SMIC et nous parce que nous sommes nombreuses dans cette situation j’aurais dû laisser une de mes collègue s’occuper de mon mari et moi garder mon poste ainsi j’aurais une retraite et je n’aurais pas contribuer aux économies faites par la CPAM et autres etc……