Si Bruno Le Maire a confirmé la baisse des impôts pour 2025, beaucoup de zones d’ombre planent encore…
Baisse d’impôts : pas avant 2025
Emmanuel Macron n’entend pas déroger à sa parole : il avait promis des baisses d’impôts aux classes moyennes, d’ici la fin de son quinquennat, il va le mettre en place. Quand ? C’est la grande question alors que l’élaboration du budget 2024 est en cours avec un exercice très difficile à boucler. Mais le ministre de l’Économie Bruno Le maire a précisé au Figaro que l’engagement présidentiel interviendra « au plus vite, si possible dès le budget 2025 ».
Bercy a confirmé à Capital qu’elle sera bien inscrite dans la loi de programmation des finances publiques (LPFP) qui doit être débattue à l’Assemblée nationale en septembre.
Baisse d’impôts : quelles modalités ?
On sait actuellement que cet allègement fiscal devrait représenter un coût de deux milliards € pour l’État. “On souhaite soutenir le pouvoir d’achat des classes moyennes”, a rappelé, samedi 2 septembre, sur France Inter, le nouveau ministre des Comptes publics, Thomas Cazenave.
Les classes moyennes sont celles qui gagnent entre 1.500 et 2.500 € par mois. Mais il faut encore éclaircir les modalités techniques choisies par l’exécutif pour mettre en application cette décision. Baisse de charges ou de l’impôt sur le revenu (IR) ? Là encore, rien n’est arrêté.
Quant aux droits de succession, on pensait qu’ils seraient enterrés, ce qui n’est a priori pas le cas : « Aujourd’hui, l’engagement du président de la République n’est pas enterré. En revanche, il dépendra de nos marges de manœuvre budgétaires », a indiqué le ministre Cazenave.
Au dessus 2500 euros, vous n’avez droit qu’au racket !
c ‘est bien connu que l’ état est le plus grand voleur il nous raquette partout: revenu de toute sorte, taxes sur nos biens (qu’on paye toute notre vie et qu’il viens à notre décès encore une dernière fois se servir très largement ) les 2 milliards, il va bien falloir qu’il les trouves quelque part, donc nouvel impôt, ou augmentation par ailleurs que l’ on cesse de nous prendre pour des meus meus.