Alors que la fin d’année approche à grands pas et que les Français vont consacrer en moyenne 549 € pour leu budget de fin d’année voici une nouvelle qui pourrait faire du bien.
Les dépenses vont être nombreuses
Ce budget est en baisse de 19 euros par rapport à 2022 selon Cofidis. Pour limiter les dépenses, voici une astuce à laquelle tous les salariés ont droit, alors que 43 % des salariés en zone rurale ne connaissent pas cette astuce et 39 % des salariés en zone urbaine passent aussi à côté.
Il s’agit du versement de salaire à la demande. Mais les employeurs refusent parfois de le verser, les cas sont minimes mais 13 % des Français se sont heurtés à une réponse négative selon l’étude de Cofidis. Alors que l’article L3242-1 du code du travail précise bien que tous les salariés mensualisés y ont droit.
On peut l’expliquer de plusieurs manières : “L‘amalgame entre acompte et avance (l’avance n’étant pas obligatoire pour l’employeur) ou encore par la complexité de gestion que représente ces demandes pour les entreprises.“
Faire une demande qui laisse des traces
Cet acompte sur salaire, le salarié y a doit car il correspond à un travail qu’il a déjà effectué. Au contraire de l’avance sur salaire qui correspond à une somme de travail que la salarié n’a pas effectué. Puisque l’acompte doit porter sur un travail déjà accompli, il convient d’attendre le 15 du mois pour en faire la demande.
Le code du travail ne précise pas toutes les modalités pour en faire la demande. “Dans tous les cas, il est préférable de formaliser votre demande afin d’en conserver une trace écrite. Aussi, adressez un courrier ou un courriel à votre employeur afin de solliciter le versement d’un acompte sur salaire“, précise toutefois le ministère de l’Economie
une coquille dans votre titre “…financier dont tous les salariés ont droit”
en bon français on dit ”auquel” -et non ‘dont’ 🙁 ; révisez donc l’usage des pronoms relatifs)