La pension des retraités du secteur privé et marié va changer dans les prochains mois. Voici pourquoi.
Deux mauvaises nouvelles vous attendent dans les mois à venir si vous êtes retraité et marié. La première mauvaise nouvelle pourrait concerner une baisse des pensions de retraite.
Car si en général, les pensions de l’Agirc-Arrco font l’objet de révision selon l’inflation chaque année, il faut que les prix augmentant pour que les pensions augmentant également. Cependant, ce sera loin d’être le cas pour les années à venir :« Pour la période 2024 à 2026, la revalorisation annuelle sera indexée au taux d’inflation, réduite d’un facteur de soutenabilité de 0,40 point », indique Agirc-Arrco sur son site.
Une inflation qui va se tasser
Si l’inflation est de 2 %, les pensions n’augmenteront que de 1,6% selon les gestionnaires du régime Arrco-Agirc qui imposent cela et non l’ Etat.
« Le conseil d’administration de l’Agirc-Arrco aura une marge de manœuvre en fonction de l’évolution de la situation économique dans les prochaines années », précisent-ils sur leur site.
Mais une deuxième mauvaise nouvelle vient du gouvernement qui entend réformer le versement des pensions de réversion. Elles permettent au conjoint survivant de toucher une partie de la pension de la personne décédée.
Cependant, le montant de cette pension n’est pas le même pour tout le monde. En effet, celui-ci varie en fonction du régime et des revenus du conjoint survivant.
La pension de réversion touchée ?
Pour le régime général, la pension de réversion représente 54 % de la retraite de base du défunt. Par contre, pour les régimes complémentaires, comme l’Agirc-Arrco, ce taux peut atteindre 60 %
Pour maintenir le système, une note indique qu’une partie de votre pension actuelle pourrait faire l’objet d’une diminution. Et ce, afin de garantir le versement des pensions de réversion aux futurs bénéficiaires.
Le rapport propose aussi la création d’une cotisation retraite spécifique pour les époux. Mais toutes ces réformes sont encore en discussion et susceptibles de ne pas être appliquées.
Est ce qu’on pourrait diminuer les émoluments des députés, sénateurs, ministre, et tout les gens des comités ,conseils qui gravitent autour . Idem pour les elus de UE. Supprimer ces revenus lorsqu’ils ne sont plus élus, supprimer les avantages des ex-presidents (revenus, secretariat, chauffeur voiture de fonction etc…)
quand tout va bien qu’ils se gavent est déjà limite mais quand on s’approche de la faillite tout le monde sans exception doit mettre la main à la poche.
raz le bol de ces profiteurs qui s’en mettent plein les fouilles et viennent vous expliquer que c’est normal et si la situation économique est compliquée c’est de votre faute.
adages: “un candidat à l’élection te connait personnellement, et ne te connais plus 5 minutes après avoir été élu ”
“un élu qui dilapide l’argent public est un salaud, mais s’il ne le fait pas c’est un con car il ne sera jamais inquiété alors pourquoi s’en priver”
Si Bardella avait proposé à ses candidats qu’ils renoncent à l’augmentation de 700€, mesure qui serait appliquée à l’ensemble de la chambre et au Senat, il aurait , j’en suis certain, au jourd’hui la majorité à l’Assemblée.
Il me semblerait par ailleurs logique que le neo-président Sarkozi qui, si la commission de surveillance des frais de campagne avait fait correctement son travail, aurait vu sa nomination annulée, ne soit pas l’heureux bénéficiaire des avantages reconnus aux anciens présidents mais simplement un retraité à la retraite proportionnelle à ses cotisations
complètement d’accord avec vous
je suis tout à fait de votre avis