Logement : locataires, une mauvaise nouvelle vous attend pour les loyers

Une nouvelle pas encore officielle va impacter des millions de Français : un e-mail ou un simple courrier pour annoncer ce dont tout le monde se passerait bien : une augmentation du loyer.

13 millions de Français sont locataires en France et parmi eux, beaucoup pourraient être contraints de mettre un peu plus la main à la poche. Le gouvernement va bientôt communiquer dessus, mais le coup dur ne va tarder à tomber.

Hausse une fois par an

Si c’est seulement une fois par an que les locataires peuvent décider d’augmenter le loyer de leur locataire, ils ne peuvent pas le faire comme bon leur semble. La loi encadre cela afin d’éviter les abus.

En général, cette augmentation intervient à la date anniversaire du contrat, soit 1 an, 2 ans ou 3 ans pile… C’est après avoir signé le bail qu’une majoration peut être appliquée.

C’est donc à partir du 15 octobre 2024 que les locataires pourraient recevoir une injonction à payer un loyer plus élevé. Le pourcentage maximal de cette hausse n’est pas encore connu, car le mois de septembre, pris en compte dans le calcul, n’est pas terminé, une tendance se dégage clairement.

Autour de 2 %

Selon les estimations de l’Internaute, l’indice de revalorisation des loyers devrait augmenter de 2 % au 15 octobre prochain.

Pour une personne qui paye un loyer hors charges de 500 €, il pourrait être contraint à payer 510 € à l’avenir, même si accroissement pourrait être plus faible autour de 1,88 % ce qui donnerait une hausse de 9,40 € chaque mois. Libre à chaque propriétaire de l’appliquer, de n’augmenter que modérément le loyer, voir de ne pas y toucher du tout.

Mais pour cela, il faut que l’indice de référence des loyers soit mentionné au moment où vous signez le bail.