Voici le Top 5 des erreurs qui peuvent interpeller l’administration fiscale, même si les déclarations d’impôts sur le revenu sont présumées « exactes et sincères ».
1. Ne pas déclarer ses revenus locatifs
Si vous possédez plusieurs biens immobiliers, l’administration fiscale peut facilement connaître le nombre de maisons et d’appartements que vous détenez. À partir de deux biens, il est possible de recevoir des revenus locatifs grâce à la mise en location d’un logement. À moins que ce deuxième bien serve exclusivement pour vos vacances. En dehors de ce cas, l’absence de revenus locatifs peut alerter l’administration fiscale.
2. Avoir un crédit d’impôt trop important
Certaines dépenses donnent droit à un crédit d’impôt qui peuvent même amener à un remboursement de la part du Trésor public. On peut notamment y inclure les frais de garde pour jeune enfant ou l’emploi d’une personne à domicile, pour effectuer le ménage ou le jardinage par exemple.
L’administration fiscale va regarder ces charges, surtout si elles sont disproportionnées par rapport aux revenus du foyer fiscal. Les dispositifs peu utilisés sont aussi particulièrement scrutés. En cas de fausse déclaration, le fisc peut appliquer une majoration de 40 % de l’impôt dû.
3. Oublier ses revenus issus des locations saisonnières
Si vous percevez des revenus issus de locations saisonnières comme avec Booking ou AirBnb, ils doivent être déclarés, et ce, dès le premier euro. Même si le bien n’est loué que pour une seule nuit.
4. La déduction d’une pension alimentaire
Si vous rattachez un enfant au foyer fiscal, cela permet d’augmenter les parts fiscales à hauteur de deux demi-parts pour les deux premiers enfants, puis une part supplémentaire à partir du 3e enfant. Mais cet avantage fiscal empêche de déduire une pension alimentaire versée à ces enfants, un éventuel cumul est facilement identifiable par le fisc.
5. Déclarer la flat-tax sur les dividendes
Si vous percez des dividendes, ceux-ci sont soumis à un prélèvement de 30 %. Mais dans la case 2CK il ne faut pas inscrire la totalité de la somme. Le « prélèvement forfaitaire déjà versé » ne correspondant pas à la flat-tax, mais uniquement à l’impôt sur le revenu soit soumis à un taux de 12,8 %. Les 17,2 % restants sont affectés aux prélèvements sociaux.
pour la flat tax meme si je ne suis pas concerné vos explications sont terriblement precises……mettez au moins un exemple vous aurez l air moins c;;;