Automobilistes, pourquoi il ne faut jamais répondre « oui » en cas de contrôle

Cette question, toujours posée par les forces de l’ordre lors d’un contrôle, est un piège radical pour les automobilistes. On vous explique pourquoi.

Lors d’un contrôle routier, c’est une question à laquelle il faut répondre et qui va peut vous mettre dans un véritable casse-tête. Une question anodine, mais qui, dans une situation de stress ou pour un réflexe malheureux, peut vite faire dégénérer la situation.

Sous le coup du stress

Car pour beaucoup d’automobilistes, même sans raison apparente, se faire contrôler est une situation de stress, rappelle NuitFrance.

Si certains automobilistes restent calmes, d’autres bafouent et perdent le contrôle. Ce qui peut rapidement compliquer les choses. Et il ne faut pas alors parler sans réfléchir, mais sous le coup du stress, les mots peuvent sortir trop vite.

Quelle question est posée ?

C’est à ce moment que les forces de l’ordre vous posent la question-piège : « Savez-vous pourquoi vous avez été arrêté ? ». Si la question semble banale de prime abord, elle est en fait un piège pour les automobilistes.

C’est une manière pour les autorités d’observer les comportements. « Oui, Monsieur l’agent », répond-on parfois par réflexe. Ce n’est pas une bonne attitude, car celait pourrait permettre d’admettre une faute que l’on a pas commise.

Et avouer une faute sans l’avoir commise est un moyen de donner aux policiers une raison de verbaliser. Cela peut aller d’une simple amende à la perte de points. Puisque les agents sont assermentés d’État.

Le fait de dire « Non », oblige le policier à donner lui-même la raison de l’interpellation.

Dans tous les cas, restez calmes et répondez attentivement aux questions de l’agent sans geste nerveux, c’est le meilleur moyen que le contrôle se déroule bien !